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«Il posera sa main
sur la tête de l’holocauste, qui sera agréé de l’Éternel pour lui servir d’expiation.» (Lévitique 1:4) |
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NOTRE Seigneur, qui est «devenu péché pour nous», est représenté ici par le transfert du péché sur le taureau, un acte très significatif réalisé par les anciens du peuple.
L’imposition des mains n’était pas qu’un simple contact, car d’autres passages de l’Écriture donnent aux mêmes mots le sens d’une pression ferme, comme dans le livre des Psaumes: «Ta fureur s’appesantit sur moi.»
Certes nous avons ici la nature et l’essence même de la foi, laquelle ne nous met pas seulement en contact avec le grand Substitut, mais nous enseigne à nous appuyer sur Lui avec tout le poids de notre culpabilité.
L’Éternel a rassemblé sur la tête du Substitut toutes les offenses du peuple de Son alliance, et chacun des élus est personnellement appelé à ratifier cet acte d’alliance solennel qui lui permet, par la grâce, d’imposer ses mains sur la tête de «l’Agneau immolé dès la fondation du monde.»
Ô croyant, te souviens-tu de ce jour merveilleux où, pour la première fois, tu as pris conscience de ton pardon au travers de Jésus, Celui à qui ton péché a été imputé? Ne peux-tu point en faire une joyeuse confession? Unis-toi à l’auteur de ces lignes, et déclare:
«Mon âme se souvient avec délice du jour de la délivrance. Accablé par la culpabilité, et rempli de craintes, je vis mon Sauveur comme mon Substitut, et je posai ma main sur Lui. Oh! combien timidement au début, mais mon courage grandit, et ma confiance se fortifia jusqu’à ce que mon âme s’appuie entièrement sur Lui.
«Et c’est maintenant une joie incessante de savoir que mes péchés ne me sont plus imputés, mais qu’ils sont placés sur Lui. Comme pour les dettes du voyageur blessé, Jésus le bon Samaritain a dit de tous mes péchés: “Mettez-les à Mon compte.”»
Ô découverte bénie! Ô bonheur éternel d’un cœur reconnaissant!
Mes nombreux péchés transférés sur Lui
Ne seront plus jamais retrouvés,
Noyés dans le flot expiatoire de Son sang,
Où toute transgression disparaît!
Source: www.cyberspaceministry.org