Il est temps que vous sachiez qu’il n’y a pas de guérison possible pour la grande malade qu’est notre planète Terre.
Aucun homme d’État, aucun savant, aucun magicien ne peut endiguer le courant de sang et de larmes, conjurer le péril d’une guerre mondiale, stopper la pollution, faire régresser la famine.
La Terre et ses habitants se trouvent pris dans un engrenage irréversible d’autodestruction.
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Il est temps que vous sachiez que ce mal ira encore en augmentant, s’aggravant jusqu’au point extrême, jusqu’à rendre l’angoisse insupportable aux hommes.
Inutile d’espérer en la science, en la technicité ou en la politique pour rendre aux hommes la paix et le bonheur. Ce ne serait qu’illusion.
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Il est temps que vous sachiez que tout cela a été prédit, annoncé depuis des siècles, depuis des millénaires.
Non par des hommes, par des voyants, mais par Celui qui sait tout, Celui auquel rien n’échappe de ce qui se passe ici‐bas.
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Il est temps que vous sachiez que bientôt le véritable propriétaire de cette terre, le Dieu unique et créateur, va reprendre ses droits d’une manière soudaine, visible et éclatante.
Il va faire irruption dans l’histoire des hommes disant : « Arrêtez et sachez que je suis Dieu » (Psaume 46 :11).
Surprise et terreur pour ceux qui l’avaient pris pour un mythe et tourné en ridicule ! Joie et délivrance pour ceux qui croient en Lui et qui l’attendent !
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Il est temps que vous sachiez que les crimes, la violence, l’intolérance de ce monde impie seront punis avec justice par le Grand Juge de toute la terre.
Seuls échapperont ceux qui auront cherché et trouvé en Jésus‐Christ leur Sauveur et Seigneur. Mais la fidélité de tous sera mise à l’épreuve dans ces jours terribles qui commencent déjà.
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Il est temps que vous sachiez qu’avant ce point de non-retour, Dieu vous adresse encore un appel. Il ne prend pas les hommes par surprise, car Il les aime, si méchants, si égoïstes soient-ils.
Il vous convie à la réconciliation :« Qu’on me prenne pour refuge, Qu’on fasse la paix avec moi!» (Esaie 27 : 5) dit Il.
Il vous offre la délivrance et le salut : « Moi, l’Éternel, je t’appelle pour le salut ! » (Esaie 42 :6). Il décline son identité afin que vous ne soyez pas trompés : « Moi, l’Éternel ! »
C’est bien Lui, l’Être suprême, plus grand que tous les grands de cette terre.Qui appelle‐t‐Il ? Non une nation, ni une race, ni une église, mais vous personnellement.
Seul, il est capable de vous délivrer du mal qui est en vous, autour de vous et de vous sauver pour l’éternité, de vous sauver in extremis, juste avant le drame final de cette terre.
Il ne vous appelle ni pour vous contraindre, ni pour vous rendre malheureux. Il pourrait, par la force, faire des hommes des robots, mais cela ne l’intéresse pas. Ce serait contraire aux principes de son royaume. Il veut votre libre adhésion, votre cœur.
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Il est temps que vous sachiez que si vous ne répondez pas à cet appel, bientôt vous ne trouverez aucun abri valable au temps de la tourmente.
« Puisque j’appelle et que vous résistez, Puisque, j’étends ma main et que personne n’y prend garde, Puisque vous rejetez tous mes conseils et que vous n’aimez pas mes réprimandes, Moi aussi je rirai quand vous serez dans le malheur. Je me moquerai quand la terreur vous saisira.
Quand la terreur vous saisira comme une tempête et que le malheur vous enveloppera comme un tourbillon, quand la détresse et l’angoisse fondront sur vous ». (Proverbes 1 : 24‐28).
Et Dieu ajoute : « Mais celui qui m’écoute reposera avec assurance, il vivra tranquille et sans craindre aucun mal » (proverbe 1 : 24‐28).
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Il est encore temps de chercher à connaître Dieu, de vous approcher de Lui, de Lui remettre votre vie, de faire de Lui votre unique espérance et la préoccupation dominante de votre vie.
Vos biens les plus précieux sur cette terre vont bientôt passer. Lui seul demeurera et vous avec Lui si vous l’avez pris comme Sauveur.
Soyez le bénéficiaire assuré de ses plus belles promesses : « Puisqu’il m’aime, Je le délivrerai ; Je le protègerai puis-qu’ il connaît mon nom. Il m’invoquera et Je lui répondrai, Je serai avec lui dans la détresse » (Psaume 91 :14‐15).
« Ne crains rien, car Je te rachète, Je t’appelle par ton nom ; tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, Je serai avec toi ; et les fleuves, ils ne te submergeront point »
(Esaïe 43 :1‐2). Soyez sauvés alors qu’il est encore temps.