.
A cet exercice, Napoléon, Alexandre le grand, ont remporté de grandes victoires.
Et on pourrait citer bien d’autres généraux ou chefs de guerre qui se sont illustrés de cette manière. Même quelques guérillas ont su remporter de grandes batailles.
La guerre est une question de force en présence, des stratégies, qui vont rassurer, d’affrontement. Par contre, avec Dieu, à la tète des armées, on a par contre de quoi être décontenancé !!!
.
Jugez plutôt. Lorsqu’il veut s’attaquer à la forteresse de Jéricho, il demande à Josué d’envoyer devant les prêtres et de faire le tour de la ville et de rentrer. 6 Jours de suite, puis 7 tours le 7° Jour et ensuite de jouer de la corne. (Josué 6)
Quand il conduit Gédéon a combattre les Madianites, il conduit l’armée à passer de tous le peuple à 10 000 puis 300. L’attaque a consisté à faire du bruit avec cruches, des trompettes, et porter des flambeaux. (Juges 7)
Quand il envoie Josaphat faire la guerre aux Moabites, Ammonites, Edomites, il envoie devant la chorale.(2 Chroniques 20-20).
.
Tout cela est bien déconcertant et même plus, surprenant. On dirait aujourd’hui : « Il faut être bien accroché pour prendre Dieu comme général des armées » Il faut faire preuve d’une confiance aveugle.
Mais cela semble quand même un peu risqué. Partir à la guerre, là où la mort est au rendez-vous, ce serait quand même mieux avec la prise en compte de certaines réalités pour limiter les risques.
C’est oublier la promesse et la parole de Dieu : Ce n’est pas votre combat mais celui de l’Eternel (Deut. 1-30 : L’Eternel combattra pour vous).
A Josué, il déclare : « Ils sont trop nombreux, et ils pourraient penser que c’est par leur forces qu’ils remportent le combat » (Josué 7-2).
Placer sa confiance en Dieu, croire, être convaincu que c’est lui qui donne la victoire, voilà ce qu’il attend de nous. Et conne disait David devant Goliath « Moi je marche contre toi, au nom de l’Eternel ».
Sachons nous approprier ces certitudes pour remporter des victoires sans juger les plans du chef des armées.