Dans un avion, l’hôtesse annonce au micro :
« Chers passagers, notre pilote demande si, dans l’ensemble des passagers, l’un d’entre vous serait un chrétien fervent ? »
Un bon Pasteur qui, ce jour-là, se rendait en mission, fier de pouvoir témoigner de sa foi, lève la main et répond ainsi à l’appel.
– Vous avez vraiment une foi forte, sans faille ? C’est sûr ?, lui demande l’hôtesse de l’air.
– Aucun problème, Mademoiselle !
– Bravo ! et merci, voyez-vous nous avions un soucis… L’avion est en feu, et il nous manque un parachute…
Combien de fois nous sommes-nous trouvé dans une situation de chute, sans parachute ?
Alors que faire ? Sauter ? Douter ? Demander « POURQUOI ! » ?
La foi prend Dieu au mot;
Elle ne demande pas le sens des expériences douloureuses par lesquelles elle est appelée à passer.
Parfois certains obstacles nous séparent de Dieu en provoquant chez nous un esprit inquiet et le murmure.
Pourtant, le ciel tout entier s’intéresse à notre bien, et nos craintes et nos murmures attriste le Saint-Esprit.
Ce n’est pas lorsque l’on voit ou sent que Dieu exauce qu’il faut croire. Il faut se confier en ses promesses. […]
« Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui ; «
Psaume 37.7
Quand on a demandé une bénédiction, il faut croire qu’on l’a reçue et en remercier Dieu.
On peut ensuite reprendre ses occupations, assuré que la bénédiction sera envoyée quand on en aura le plus pressant besoin.
(Adapté de : Puissance de la grâce,27 juillet – EGW)
Source.www.adventlife.fr