Dans une étude publiée en 1989,
Dr. Christopher Ellison et Dr. Jeffrey Levin ont analysés 200 recherches psychologiques et psychiatriques sur la connexion entre la foi et la santé. |
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Elles soulignent les mêmes observations.
En matière de santé mentale, la foi procure des bénéfices aux gens de tout sexe, âge, ethnie, classe sociale et position géographique :
- une régulation du mode de vie et des habitudes sanitaires.
- un réseau social fort et soudé.
- un développement de l’estime de soi et d’émotions positives comme le pardon et l’amour.
- une vie conjugale et familiale habituellement stable et forte, réduisant les incidences de stress et de dépression.
- des croyances qui donnent une cohérence et un sens à la vie.
Dr Peter Gott tire plusieurs conclusions similaires :
- Habituellement, le croyant fait des choix de mode de vie positifs et exhibe des habitudes saines.
- Il bénéficie d’un soutien social actif de groupes de personnes dans sa communauté religieuse.
- L’engagement religieux produit des sentiments de dignité et de confiance dans sa capacité à se prendre en charge.
- La prière et l’étude aident à faire face à des situations déplaisantes et permettent d’éviter ou de se dégager du stress et de la dépression.
- L’engagement religieux peut produire des émotions positives qui favorisent le système immunitaire.
- La foi promeut une vision positive qui permet au croyant de mieux surmonter les vicissitudes de la vie.
Le salut par la grâce démarre un processus de restauration progressive de l’être humain vers l’état original de perfection de l’humanité, en délaissant les pratiques pécheresses et les accoutumances néfastes.
Nous devons nous préparer au retour du Christ sur le plan de toutes ses facultés : spirituelle (pneuma), psychique (psuché) et corporelle (soma).
1 Thessaloniciens 5.23 : « Que le Dieu de paix vous rende lui-même entièrement saints et qu’il vous garde parfaitement esprit (pneuma), âme (psuché) et corps (soma) pour que vous soyez irréprochables lors de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ. »
Et pour finir…
Après huit ans de recherches, Dan Buettner a identifié les cinq groupes de population dans le monde, dont les adventistes du septième jour, qui vivent le plus longtemps : vivant en moyenne jusqu’à dix ans de plus que le reste de la population.
Il écrivit un long article sur le sujet dans National Geographic intitulé :
» Longévité : les secrets d’une longue vie » et publia un livre, Blue Zones (Les zones bleues : les leçons de longévité des gens qui vivent le plus longtemps) révélant les secrets de leurs modes de vie.